Beignet en mode light pour cause de partiels.
On trouve quand même le temps pour un week-end mouvementé après le calme realtif de la semaine.
Vendredi, on fête le départ de Jean chez Baptiste. On termine couverts d'oeufs et de bière, ça évitera aux voisins de réitérer leur attaque surprise.
Samedi en deux temps.
Un temps rugby, au pub, avec des irlandais. Et un irlandais ça fait du bruit. Surtout quand ça gagne. Surtout contre l'Angleterre. Surtout dans le stade "Bloody Sunday". Beaucoup de bruit donc.
La France gagne, l'occasion de reprendre une pinte d'être content
2ème temps. On retourne chez Baptiste achever ce qu'on avait commencé la veille (la bière, pas les oeufs).
Le temps de se pomponner, attrapage de Nachtbus, direction le Rio pour la soirée Get the money and run.
Le Rio c'est un peu le club underground hype de Berlin. Une déco qui rappelle ma salle de bain ou au mieux une salle de boxe clandestine, des dragqueens en guise de chauffeurs de salle, et des freaks ultra-stylés pour remplir tout ça. Niveau musique, c'est du très lourd ; on retient notamment la jolie djette qui nous balance le Gasolina remix de Radioclit - effet nuke garanti. L'adresse : Chaussee Str. 106. Je mets carrément un 17/20.
© Facehunter
Dimanche comme un dimanche, calme.
On prend le temps de se faire une Weinerei, et même un verre ou deux au Zu mir oder zu dir ("chez toi ou chez moi"), ce bar sympa et branchouille de la Lychener Strasse, déco disco-DDR.
Lundi, mauvaise nouvelle stagesque (et oui, je cherche un stage, donc si tu es blonde à forte poitrine patron d'une boîte du cac 40, d'un cabinet de conseil en strat' ou d'une boîte de venture capital, conctacte moi ! ) pour cause de corse des montagnes, je me comprends.
Mardi, concert de Nouvelle Vague à la Kulturbrauerei.
Et ben j'en avais du temps à rattraper !